Jean KUBLER
Jean KUBLER est né en 1946 dans le Nord Dauphiné. Autodidacte, indépendant, diplômé de fantaisie et empathique de nature, il est ouvert à toute chose et rétif au conventionnel. Calembours, humour, bons mots (pas les vilains maux), finesses et subtilités de notre superbe langue se conjuguent avec les voyages dans la lune et les retours difficiles, l’imaginaire et le presque réel. Hyper actif, très attentif, il donnerait bien sa chemise, mais la garde par pudeur… Sa vie de labeur il la traverse avec succès, contre vents et marées. La retraite enfin… Il écrit après 50 ans de vide, n’y tenant plus.
Avec Dominique, son épouse graphiste et lectrice-
Le Lot leur offre le havre de paix propice à leurs créations et à la réflexion. Il est écrivain, poète, romancier, nouvelliste et maintenant éditeur.
La comtoise
Depuis le 13 novembre 1870, la comtoise veille sur la famille Cadroux, en Nord Dauphiné.
Oscillant entre mémoires et récits de vies, ce roman est l’occasion pour l’auteur de mettre en avant différents éléments qui fondent l’existence de cette famille. Atypique à sa manière, cette dernière est le nid de diverses superstitions dauphinoises qui se pérennisent ; elle accueille une marâtre un peu sorcière et se trouve être le témoin de morts inexpliquées. Des événements qui tissent des liens entre les membres de la famille, une comtoise qui bat au rythme des fêtes villageoises, jusqu’à l’attentat terrible et fatal du 13 novembre 2015, jour où tout bascule.
Mais la comtoise est là, et elle veille et protège ceux qui forment désormais sa famille.
Carole
Un éditeur disait de ce texte de Jean KUBLER : « C'est un texte résolument moderne, mais qui ne tombe pas dans le piège de la facilité linguistique. C'est un «polar» qui ne brade pas la langue française au profit de l‘intrigue seule. C'est très bien ficelé, il tient le lecteur de bout en bout. Jean KUBLER a un style atypique, très imagé. Il embarque tout de suite le lecteur dans son récit et dès les premières pages, l'histoire accroche, les personnages sont fouillés, le style est maîtrisé, etc.»
Il faut dire que l'environnement de notre CAROLE est pour le moins tourmenté. Elle rencontre, par hasard son destin et peine à se dégager des trafics de ses petits camarades. Puis l'aura lumineuse de Bérénice déteint sur Teddy, patron de deux bars louches, objets de toute l'attention de nos deux petits flics obstinés Joce et Daniel. Mais voilà ...
Hors du temps
Vous saviez en choisissant cet ouvrage que vous seriez en tête à tête avec le plus profond de mon être. Un poème n'est jamais anodin. Il porte, à chaque mot, toute l’intensité des sentiments de son créateur. Peu importe le nombre de ligne, de mot, de rime, riche ou pauvre ou inexistante, ce qui compte, c'est ce que vous allez ressentir à la lecture du poème, ne serait-
On appelle ce moment « être en communion » avec un texte, avec un auteur, avec le poète, avec celui qui met dans ses mots, sa pensée, son cœur, son âme, sa vie, ce qu'il est à cet instant, ce qu'il fut, pour devenir ce qu'il sera.
Vous n'aimez pas celui-
Les poèmes de 1962, quand j'avais 16 ans, et ceux de 2020, ou j'ai 74 ans, ont tous le même point commun, ils expriment mes sensations et mes sentiments les plus profonds. Alors, pour les ranger de façon logique, même s'il n'y a pas de logique en poésie, j'ai choisi deux thèmes et classé les textes chronologiquement ce qui me parait être la meilleure solution, mais présent et passé sont si proches. Donc adieu aux grands principes et bonjour à la fantaisie. Lisez bien, l'un d'entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d'onde. Si vous ne le trouvez pas, alors, posez les yeux à l'horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.
Q.M.V.D.C
« Arrête de procrastiner chaque matin que Dieu te concède. Maintenant, il est temps de mettre en page ce qu’est ta chienne de vie et de convier tes amis au festin de tes emmerdements. Ainsi, les leurs sembleront plus doux. »
C'est le grand principe qui règne sur notre monde, voir les autres dans des galères folles. Ça nous fait un bien incommensurable. C’est un véritable élixir de Jouissance. Par contre, quand d'aventure les emmerdements se bousculent à la porte, la chanson est bien différente. On assiste aux grandes lamentations des pleureuses, à l'expression la plus laide de la vénalité humaine, on assiste aux bassesses les plus vulgaires et les plus dégradantes. Ce sont les mauvais côtés de l'homme. Certains rompent avec ce cliché basique. Des épreuves, ils tirent des leçons, des contraintes, ils imaginent des solutions, et, de la maladie, ils sortent vainqueur, plus combatifs que jamais. Le mal éradiqué, ils abordent les épreuves, solides comme un roc de granit. Là, sont les vrais hommes.
« Ce qui est terrible, ce n'est pas de souffrir ni de mourir, mais de mourir en vain » (Jean Paul Sartre).
Clément et Claire sont face à ce dilemme.
« Sur le plus beau trône du monde, on n 'est jamais assis que sur son cul ! » disait très justement Michel De Montaigne.
Ce qui rabat bien des caquets et remet les choses en place. Bien des Points seront mis sur des I et des barres sur des T, mais les évènements ne se déroulent pas toujours comme prévus.
Tranches de vie (s)
Il a intitulé son ouvrage « Tranches de vie(s) ». Quand on dit « tranche », on pense au couteau... Difficile de trouver un meilleur titre pour rassembler des textes qui décrivent des moments de vie vécus ou ressentis sur le « fil du rasoir ».
Jean KUBLER nous conduit dans une suite de moments vécus, du réel intérieur, celui dans lequel on est seul avec soi. Lire ses nouvelles est un plaisir de l'accompagner.
Michel MOULIN
En 2019, Jean Kubler reçoit le Diplôme d’Honneur du Prix spécial du jury au Concours National de Poésie pour «DAME» que vous trouverez dans «DU TEMPS»
En 2020, Jean Kubler reçoit le Premier prix du concours National de Nouvelles «» avec «»,
Il reçoit plusieurs prix pour ses poèmes: «lin bleu», «Moments propices» etc.
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