Paul TOJEAN

Paul Tojean est né à Saint-Affrique, dans le département de l'Aveyron, un certain 17 janvier (quatre jours avant la disparition du poète Blaise Cendrars et six mois précédant celles des écrivains Louis-Ferdinand Céline et d’Ernest Hemingway). Que cela ne tienne ! Des années plus tard, la poésie viendra le hanter, jusqu’à savourer, à 17 ans, Le vin de l’assassin, ou L'albatros de Baudelaire, pour leur aspect purement scénique.

Sa vie professionnelle débute à Centre Presse, à Rodez. D’abord comme typographe, puis successivement comme photocompositeur et technicien d’édition et enfin journaliste. Par ailleurs, de 2003 à 2017, il a consacré tous les dimanches, dans les colonnes du journal, un espace poétique à des auteurs et auteures de divers horizons. En outre, il a publié plusieurs ouvrages de poésies parus aux éditions l’Harmattan, Brumerge, Sinope Editions.


L'Art de déplaire (2013)

« L’Art de déplaire » regroupe une série de poèmes le plus souvent puisés dans le feu de l’actualité. Il peut également s’agir de poèmes dits de circonstances où le hasard des événements peut se révéler être le parcours propice vers l’humour et la fantaisie…

Neuf poèmes d’amour (2011)

​L'amour, l'écriture intimement liés deviennent les seules voies possibles pour le poète.

On pressent les craintes, les doutes, la passion qui animent chaque vers. Les images et le rythme leur confèrent une musique insinuante qui palpite comme un coeur.


Les énigmes de Monsieur Paul (2014)

Trente-et-un textes composés au jour le jour et illustrés par Gaston-Louis Marchal. Cette composition a été élaborée à partir des titres préalablement choisis et soigneusement découpés dans un journal, du 1er au 31 janvier, constituant ainsi la présente plaquette. De petits morceaux d’histoire sortis de leur contexte, privés de leur devoir d’information, mariés les uns aux autres pour recomposer une famille de mots qui donne un sens nouveau à l’écriture poétique.

Vers toi, Espagne (2015)

Nous voici projetés en Andalousie au coeur de l'Alhambra où coule l'eau d'une fontaine qui semble éternellement gémir au souvenir de Federico Garcia Lorca assassiné par les franquistes le 19 août 1936. Un poème-récit où chaque étape du voyage en Espagne honore tous ces combattants, hommes et femmes, héroïques défenseurs de la Seconde République espagnole, tandis que les voix des grands poètes se font entendre à travers ce long périple.

Illustrations de Dinah Salama.

Quatorze poèmes d’amour (2016)




SEMAINIER DES MUSES

JOURNAL ANTHOLOGIQUE, FÉMINISTE,
INTERNATIONAL & MULTILINGUE DE POÉSIE
N°2 MAI 2016 dédié à la poésie de Paul Tojean

Poèmes philosophiques suivi de Questions de principe (2016)

​​Ces écrits nommés pour la circonstance « Poèmes philosophiques » auraient pu s’intituler « Journal quotidien pour une actualité décousue ». En effet, ces aphorismes relèvent de cette quête intarissable qui est l’inattendu, comme peut l’être parfois l’exploration des phrases dites de « demi-sommeil ». Élaboré dans un esprit purement ludique, Questions de principe, écrit en collaboration avec Rosy Guillot, constitue à part entière, un dialogue - dans le concept même des jeux surréalistes - où chacun, à tour de rôle, pose une question par écrit, tandis que sans en connaître la teneur, le partenaire répond à celle-ci suivant la forme interrogative (Pourquoi ou Qu’est-ce que). Les auteurs se sont adonnés au jeu du Cadavre exquis.

Illustrations de Gaétan Guillot

Le visage de l’amour au cristal des rêves (2019)

« Fidèle à lui-même, Paul Tojean renoue avec les poèmes de son premier recueil Neuf Poèmes d’Amour paru chez l’Harmattan. La présentation originale de ce nouveau livre nous offre l’inventaire des titres des écrits qui le composent. La barque des rêves, Elle se baigne dans une robe de pluie, La rosée du jour nous font entrer dans la ronde magique du verbe où Eros est roi. La gravure sur bois de Pierre Peyré d’après un dessin de Casimir Ferrer nous en donne un aperçu tangible, à la fois esthétique et sensuel. Car nul doute que les vers de Paul Tojean sont autant d’invitations à accoster « Le long du rivage de l’amour ». Inspiré par les récits d’Annie Leclerc, l’auteur avoue porter « jusqu’au cœur de l’écriture, la flamme du désir ». Aussi rien de moins surprenant que ce poème évoquant L’origine du monde et qui fait bien évidemment référence au tableau de Gustave Courbet. Le sexe féminin y est glorifié « sous le feu de l’envoûtement charnel » jusqu’à devenir « une rosace de vie ». Paul Tojean redonne à l’amour les couleurs de la passion qui font rayonner chacun de ses vers. »  (Françoise Urban-Menninger).


Ce recueil est une célébration à l'amour, à l'érotisme et aux plaisirs amoureux























































































































































































































































Ce recueil est une célébration à l'amour, à l'érotisme et aux plaisirs amoureux































































































































































































































































































Spiritualité et Renaissance, suivi de Carnet de route (2022)

Paul Tojean tente d'éveiller les consciences à travers son recueil de poésie intitulé "Spiritualité et Renaissance". Le poème est une revendication, un appel, un cri éclairé pour émanciper les esprits. L'Homme est un être fait de chair et de raison et c'est avec beaucoup d'ironie et d'humour que Paul Tojean évoque l'obscurantisme religieux. Certains poèmes sont illustrés par l'auteur lui-même.

"Carnet de route" est une invitation au voyage. Les sensations animent les corps et les mots. Le lecteur parcourt ces différents espaces simplement, librement.

Filigranes (2023)

Comme un diamant posé sur un océan de mots. Filigranes rend hommage à la beauté des villes, des endroits rencontrés aux fils des expériences. Le lecteur observe un espace extérieur envoûtant pour mieux contempler le monde intérieur du poète.

L’amour de la vie y est célébré et face au temps qui s’enfuit, aux êtres chers disparus, les mots restent. Ils sont une continuité de leur existence.


Le temps qui passe

Se noie dans une peau de chagrin

Tandis qu’un silence d’or

Envahit la petite maison


Un silence d’or pour mieux crier le souvenir des jours heureux qui ne se terminent jamais vraiment.


Courriel : ejp.guillot@hotmail.fr  

Site Internet : https://paultojean.wixsite.com/poesie


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