Reine CARCENAC
Née à Rodez, Reine Carcenac est titulaire d’un diplôme de troisième cycle de psychologie et d’une maîtrise de Sciences et techniques de la communication. Sa carrière professionnelle, qui alterne des phases d’enseignement et des périodes de gestion administrative, se déroule au sein des ministères de l’Éducation nationale et des Affaires étrangères. Elle accomplit notamment une mission de longue durée au Sri Lanka, où elle fonde l’École française de Colombo.
Ses activités professionnelles et ses goûts personnels la conduisent à beaucoup voyager, en particulier en Asie et en Amérique centrale.
Elle écrit depuis son enfance des poèmes et des textes en prose.
Sous le pseudonyme de Régis Campan, elle publie en 2011 aux Éditions Persée un roman policier intitulé Les ongles de Vénus, «thriller envoûtant et poétique, où s’entremêlent amours anciennes et nouvelles, voyages exotiques au temps de la mondialisation, scènes de violence et de sérénité…».
Sous son vrai nom, elle est à plusieurs reprises finaliste du réputé concours de nouvelles de Fréjus. En août 2011, elle obtient avec Coup de poignard le premier prix des nouvelles aux 3èmes Rencontres d'écrivains de Serre et d'Olt.
Elle a fait paraître début 2012 aux Éditions Galerie l'Arche deux recueils de nouvelles: Week-
L’île des revenants relate l'errance d'un homme ordinaire qui se cherche. Tâtonne. Se perd. Croit se retrouver. Commet les pires horreurs, comme dans ces cauchemars récurrents dont on finit par se réveiller au matin, soulagé, persuadé d'avoir seulement rêvé.
A cinquante ans, il finit par s’évader et part en Martinique conjurer la malédiction. Mais le mal existe ! Partout ! Regardez autour de vous ! ! Partout ! Regardez
« Cinq heures. Le jour se lève. Un fin clapotis cisaille les orteils d’Olivier. Il frissonne. Les petits matins sont frileux, même aux Antilles. Depuis trois jours, ils se sont endormis sur leur plage après avoir pris un bain de minuit et fait l'amour. »
Ainsi commence ce roman, qui se déroule en grande partie en Martinique. Il relate les errances criminelles d'un homme ordinaire qui commet les pires horreurs, comme dans ces cauchemars récurrents dont on finit par se réveiller au matin, soulagé et persuadé d'avoir seulement rêvé.
La narratrice évoque des paysages, des parfums, des coutumes et un langage propres à l’univers ultramarin. Comme elle, vous tomberez sous le charme des sortilèges antillais.
Reine Carcenac finaliste du prestigieux
Grand Prix de la nouvelle en 1000 mots de Fréjus en 2024
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